Résumé Niourk 3ème partie

Pen­dant qu’il cherche du gibier dans la jun­gle des monts Bermud, l’enfant noir ren­con­tre un vieil homme. Ce dernier déam­bule dans la jun­gle sans se souci­er des pier­res ou des arbres auquels il se heurte sans le remar­quer. Il par­le sans arrêt comme un fou et est habil­lé bizarrement. L’enfant pense que c’est un dieu. Le dieu par­le une langue étrange que l’enfant ne com­prend pas entière­ment. Le vieux lui dit que si il veut trou­ver du gibier, il doit aller à Niourk, la grande ville des dieux. Alors, l’enfant noir con­duit la petite tribu en direc­tion du nord et de la grande ville. Au moment de rejoin­dre le fleuve Huds, qui mène à Niourk, l’enfant a comme une illu­mi­na­tion. D’un coup il com­prend beau­coup de choses. Mais ce moment ne dure pas longtemps à cause des douleurs de crâne que cela engen­dre. Pour­tant, ces crises devi­en­nent de plus en plus fréquentes depuis quelques jours. Impa­tient, l’enfant noir com­mence à remon­ter le long du fleuve mais il est arrêté par le cri de Bagh. Ce dernier est mort instan­ta­né­ment. Comme un bal­lon rem­pli d’hélium, son corps com­mence à gon­fler et finit par se détach­er du sol pour s’envoler. Mais ce n’est que le début. Tous les autres mem­bres de la tribu subis­sent le même sort. Tous, sauf l’enfant noir et l’ours. Alors les deux com­pagnons con­tin­u­ent pénible­ment leur marche vers Niourk. Au bout de un jour de marche, il atteint le port de la ville où se dresse la mag­nifique stat­ue d’une femme. Elle est plus grande que les plus grands grat­te-ciels de Niourk. Se croy­ant en présence d’une déesse, l’enfant tombe à genoux. Puis, il se rend con­te, grâce à une nou­velle crise de lucid­ité, que ce n’est qu’un énorme bloc de pierre, tail­lé pour ressem­bler à une femme. Après être entré dans le pre­mier bâti­ment, des robots entrent dans la salle où se trou­vent les com­pagnons et les enfer­ment dans une salle et par­tent. L’enfant et l’ours sor­tent par une autre porte, et s’engagent dans un labyrinthe de couloirs. Ils dépassent plein de salles mais ne s’arrêtent pas. Une seule chose occupe leur esprit : trou­ver de la nour­ri­t­ure. Ils mon­tent d’un étage grâce à un esca­la­tor qui marche encore et débouchent dans un vaste endroit avec des tables partout. Il s’installe et demande du pois­son. Celui-ci est telle­ment déli­cieux qu’il en com­mande encore trois, qui sur­gis­sent instan­ta­né­ment de la table. Une fois qu’il a fini, il se couche sur la moquette et s’endort.