Sketch

Sketch 1 :
« Bon­jour les enfants ! m’écriai-je. Que faites-vous en mail­lot de bain alors qu’il pleut.
— Bon­jour madame la sur­veil­lante ! On vient se baign­er, me répondirent-ils
— Mais il pleut ! lançai-je.

- Oui, on sait, dirent-ils comme si c’était nor­mal d’être en cos­tume de bain sur une plage alors que les nuages cou­vraient le ciel.
— Mais vous n’allez pas vous baign­er alors qu’il pleut. En plus, ajoutais-je sur un ton dra­ma­tique il annonce un ter­ri­ble orage.
— Ça va être encore plus cool ! cria un des deux enfant, un petit rouquin.
— Désirez-vous mourir foudroy­er par des éclairs ? questionnais-je

- Non. Mais pourquoi cette ques­tion ? deman­da l’autre enfant qui avait des cheveux blonds.

- Avec cette orage, votre vie sera en dan­ger, » m’écriais-je tou­jours avec un ton dramatique.

Alors les deux enfants par­tirent. Ouf ! J’allais enfin pou­voir regarder la télé dans ma tour de secoure.

 

 

Sketch 2 :

« NON, NON, NON ET NON ! hurlai-je hors de moi. Il est HORS DE QUESTION que tu sortes à la plage. Il pleut et tu n’as pas fini tes devoirs.

- Mais maman s’il te plaît, me sup­plia mon fils. Je ferai mes devoirs après.
— Tu dis tou­jours ça, rétorquai-je. Et c’est non négo­cia­ble de toute façon.
— Mamannnnnnnnnn s’iiiiiiiil te plaîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîît. Tu es la meilleure, la plus belle, la plus par­faite mère du monde, mur­mu­ra Mar­vin en me faisant un câlin.
— Mais je le sais déjà, dis-je avec un grand sourire.
— Alors je peux sor­tir ? ques­tion­na Mar­vin sûr de son coup.
— Oui, tu peux, répondis-je.
— Youpi, mer­ci, maman ! cria l’enfant.
— Attends ! Avant, finis tes devoirs et la vais­selle. Bon, si tu as besoin de moi, je suis dans mon bureau » m’écriai-je très fière de moi, lais­sant Mar­vin bouche bée.

Sketchs

Le respon­s­able aperçoit un enfant qui se dirige vers la mer, mais la météo est mau­vaise. Alors il va l’interpeller.

« Bon­jour mon petit ! Il est inter­dit de nag­er pour le moment.

-Bon­jour, mais pourquoi donc ? deman­da le garçon.

-Car la météo est mau­vaise ! Je te demande de sor­tir de l’eau immé­di­ate­ment ! ordon­na le monsieur.

- D’ac­cord, d’ac­cord, excusez-moi monsieur.

-Mer­ci, va vers tes par­ents main­tenant, dit le responsable.

-Oui, bonne journée ! s’ex­cla­ma l’enfant.

-Bonne journée mon petit « .

 

La famille s’ap­prête à quit­ter la plage, mais le garçon aimerais encore nager.

 » Mais, papa, j’aimerais nag­er ! pleur­nicha le petit.

-Non ! Il est inter­dit de nag­er ! As-tu vu le temps ?

-Peu importe, je vous en sup­plie ! dit l’enfant.

-Arrête tes caprices, Logan ! On ren­tre à la mai­son tout de suite, ordon­na la maman.

-Oh ! Très bien… » soupi­ra Logan.

La famille prit la route pour rentrer.

Niourk

Niourk

Thôz : chef de la tribu, car il est grand et fort. Il pos­sède de nom­breuses cica­tri­ces sur son corps ain­si qu’une longue barbe blonde. C’est le plus courageux et vio­lent de tous les chas­seurs de sa tribu. Il meurt parce qu’il a mangé du poulpe.
Le Vieux : est le sage de la tribu. Son vis­age est bur­iné et il porte une longue barbe blanche. Il est très mai­gre et il aime beau­coup le rhum. Il est respec­té de tous et il les a vus tous naitre. Il se fait égale­ment appel­er « Celui-qui-sait-tout ». Il meurt
La Tribu : Les hommes se nour­ris­sent de viande tan­dis que les enfants et les femmes se nour­ris­sent d’herbe et d’insecte. Les gens les plus impor­tants sont le Vieux et les chas­seurs tan­dis que les enfants et les femmes sont en bas de la hiérarchie.
L’enfant noir : Il est très mai­gre. Dans sa tribu tout le monde le rejette à cause de sa couleur de peau.Il est moins borné que les autres et observe beau­coup. L’enfant ne croit pas à la puis­sance du Vieux. Il a env­i­ron 11~12 ans.
La danseuse folle : est rousse et maigre.
Bagh : sec­onde Thôz. Il est courageux.

NIOURK (résumé)

La tribu de Thôz marche depuis longtemps tenail­lée par la peur. Non loin de là, il y a un lac avec des poulpes, et les rumeurs dis­ent qu’ils man­gent les humains. Alors Thôz demande à Bagh et deux autres hommes d’aller voir s’il y a des mon­stres en haut du col. Comme il n’y en a pas, la tribu monte.
Quelques jours plus tard, du haut d’une colline, Bagh, qui était devant pour véri­fi­er qu’il n’y ait aucun dan­ger, voit devant lui le lac des mon­stres. Il donne l’alerte, mais sous l’ordre de Thôz la tribu con­tin­ue son chemin vers cet endroit dan­gereux pour y pass­er la nuit.
Mal­heureuse­ment ce qui devait arriv­er arri­va… Bagh le guet­teur, fou de ter­reur, court vers son chef pour le prévenir que les poulpes ont attaqués. Thôz prévient tous les chas­seurs pour com­bat­tre les bêtes. Ils sont vain­queurs mal­gré la perte de deux hommes.
Après avoir mangé les poulpes, ils remar­quent que leurs ven­tres devi­en­nent lumineux au point de voir leurs intestins. La tribu, d’abord effrayée par ce phénomène, finit par s’amuser avec la lumière qui fil­trait leur ventre.
Une nou­velle attaque de poulpes vient gâch­er leur jeu. Ils recom­men­cent à se bat­tre, mais cette fois les hommes per­dent, et sont lig­otés par les monstres.
Pen­dant ce temps, l’enfant noir suit les traces de sa tribu. Durant son tra­jet, il fait la ren­con­tre d’un ours qui devient son ami. Ensem­ble, ils par­tent sur les traces de la tribu. Ils la retrou­vent sur la plage du lac des poulpes. Grâce au pis­to­let, l’enfant noir réus­sit à tuer les mon­stres et à sauver sa tribu.
Alors il devient le chef et part, accom­pa­g­né de son groupe et de l’ours, vers Niourk la ville des Dieux. Alors qu’ils sont bien­tôt arrivés à des­ti­na­tion, la tribu, sauf l’enfant et l’ours, meure et s’envole dans le ciel.
Les deux amis con­tin­u­ent seuls. Une fois arrivé à Niourk, ils vis­i­tent la ville et décou­vre un débar­cadère suivi d’un couloir et des salles avec dif­férentes fonctions.

Niourk résumé 2–3

Par­tie 2

Il y avait un énorme tuyau en métal qui avait été con­stru­it pas des hommes pour trans­porter les déchets ( une sorte de poubelle ) les ordures étaient des fois radioac­t­ifs. C’était  dan­gereux car cela allaient dans les fonds marins. Plusieurs ani­maux ont dis­paru, sauf les grands poulpes noirs aux yeux jaunes. Leurs œufs lumineux ont don­né nais­sance à plein d’autres poulpes. Ils vivent dans le lac salé, l’un des lac le plus dan­gereux et red­outé par les hommes. La tribu va franchir le col pour éviter le grand lac salé et les poulpes radioac­t­ifs. Très épuisé par la chaleur, le groupe s’arrêta au bord d’une  marée. Un peu plus tard ils se font atta­quer par un ours ! Mais Thôz parvient à le tuer. Il mangea de suite sa cervelle, comme c’est la tra­di­tion. De loin un poulpe qui par­tait en chas­se aperçu la tribu, il alla aver­tir les restes des poulpes pour les atta­quer ! Le groupe déci­da de camper à prox­im­ité du lac salé… Puis pen­dant la nuit  , les poulpes les attaquèrent. Il y a eu cer­tains morts, mais la tribu a réus­si à les chas­s­er. Ils mangèrent leurs ten­tac­ules. L’enfant noir lui était tou­jours entrain de chercher sa tribu, il trou­va les traces de Thôz donc il les suivit.Il se fait atta­quer par un ours aus­si qu’il parvient à le blesser.Le groupe subit une sec­onde attaque de poulpes. Au lieu de tuer l’ours l’enfant noir le nour­rit et réus­sit à le domes­tiqué. Après 5 jours la bête devient valide. Les deux amis on décou­vert le camp où il y a eu les batailles, le garçon est atta­quer par un poulpe qu’il tua et mangea sa cervelle. Les poules ont lig­oté la tribu ! Ils mangèrent même les hommes et les femmes, mais l’enfant arri­va enfin à leur sec­ours et ache­va tout les poulpes avec son arme !
Par­tie 3

Après avoir vain­cu les mon­stres, l’enfant était presque comme un chef alors il les con­duit en direc­tion du nord. Lors d’une pause, le garçon alla décou­vrir la jun­gle pour trou­ver du gibier et il fit la con­nais­sance d’un dieu fou. L’homme lui con­seil­la d’aller à Niourk, la ville de la chas­se, des dieux et la plus grande ville qu’il con­naisse ! Alors il déci­da d’y aller. Le lende­main matin la tribu arrive près du fleuve Huds, c’est là que l’enfant noir décou­vre que son intel­li­gence est très dévelop­pée grâce à avoir manger la cervelle du Vieux. La tribu com­mence à remon­ter le fleuve et les chas­seurs sont très malades ! Bagh meurt en pre­mier, son corps flotte car il est rem­plis d’hélium ! Thôz décède aus­si. Le groupe se dis­perse, tout le monde se perd. Le seul pro­tégé de la radioac­tiv­ité était l’enfant car il avait manger plein de cervelles de mon­stres. L’ours et le garçon arrive enfin à Niourk, ils ren­con­trent deux robots qui vont les guidé,mais leur bat­terie tombe en panne . Sans soucis, les deux amis pour­suiv­ent leur vis­ite et se nour­risse de nour­ri­t­ure synthétique.

Dialogue entre la patate et la guitare

Une fois sor­ti, il claqua la porte et, là, la patate puis la gui­tare com­mencèrent à dia­loguer croy­ant que le directeur était parti.

« C’est bon, il est par­ti ? chu­cho­ta la patate.

-Je crois bien qu’il est par­ti, dit la guitare.

-Il a vrai­ment cru qu’on allait par­ler devant des gens ?

-Il faut cacher notre par­tic­u­lar­ité, car nous ne sommes pas communes.

-Oh ! Regarde, il y a le directeur ! dit la patate.

-Mais, tiens ? Elles par­lent, s’ex­cla­ma le directeur.

-Chut ! Plus un bruit, chu­cho­ta la guitare.

-Il faut organ­is­er un spec­ta­cle, ça serait super, dit le directeur.

-Oh non, pas un spec­ta­cle ! » soupirèrent les deux amies.

Le directeur prit la patate et la gui­tare puis alla annon­cer ce phénomène à tout le cirque.

Une patate et une guitare

Alors le chem­ineau sor­tit de la roulotte en oubliant la fameuse patate et la gui­tare. Les deux amies étaient très fières de leur coup. Elles se mirent à par­ler sans se ren­dre compte de la présence du directeur :

 » Hi hi hi, on l’a bien eu ce chem­ineau, ricana la patate.

- Nous sommes si douées, pouf­fa la guitare.

- Mais… mais… bégaya le directeur qui était devenu blanc comme un linge . Vous par­lez vraiment ?!

- Oui, répon­dit la patate d’un ton blasé. C’est incroy­able n’est-ce pas ?

- Oui, mur­mu­ra le directeur. C’est incroy­able. Telle­ment incroy­able, que j’aimerais vous engager toutes les deux.

- Va-t-on devenir célèbres ? ques­tion­na l’in­stru­ment de musique.

- Mais bien sûr ! s’écria le chef. Tout le monde ne par­lera que de vous. Vous serez mon­di­ale­ment con­nues. Alors, êtes-vous d’accord ?

- OUI ! » hurlèrent le légume et la guitare.

Depuis ce jour, on ne par­la plus que d’une pomme de terre qui racon­tait des blagues avec une guitare.

Journal intime de M

Le 2 mars 2020

Cher Louis Vuitton,

Il faut que je te racon­te ma journée d’hier. Le matin, rien d’anormal. La cloche a son­né, et tout le monde s’est levé en grog­nant, le train-train habituel. Ensuite, je me suis habil­lée : chaus­settes ros­es, pan­talon et pull noirs et mes nou­velles chaus­sures orange. Ensuite, avec Mor­gane, Tina, Océane et Anaëlle, nous nous sommes dirigés vers le réfec­toire. La dame de la can­tine nous a servi des céréales dorées et du jus de pomme rouge. Puis le directeur bruyant est arrivé dans le réfec­toire. Tout le monde s’est tu, même Océane et Mor­gane. Notre généreux directeur nous a annon­cé que nous avions con­gé ! Tout le monde s’est mis à hurler de joie. On était telle­ment heureux que tous les élèves ont aidé la concierge à net­toy­er. En ren­trant dans ma cham­bre, la musique avait été mise à fond. Je ne m’étais pas ren­du compte de l’impact des con­gés sur mes cama­rades. Enfin bon, j’ai passé une très bonne journée où, pour une fois, per­son­ne n’était de mau­vaise humeur à cause des cours. Bon, il faut que je te laisse, car tous les bon­heurs ont une fin, et là en l’occurrence je dois aller en cours. À demain !

Journal intime

Cher jour­nal,

Aujourd‘hui, nous sommes le 2 mars 2009. Je suis à Poud­lard ce matin et l’école est très grande ! Il y a des sor­cières effrayantes qui sur­v­o­lent le col­lège. Des per­son­nes révisent dans les salles de sci­ences amé­nagées, d’autres man­gent à la cafétéria, etc. On peut faire plusieurs activ­ités. Avec mes amies, nous avons par­lé de baguettes mag­iques, car la baguette que Célia a achetée ne fonc­tionne plus comme il le faut. Elle lui joue des mau­vais tours. Puis, j‘adore mes vête­ments, je parais comme une sor­cière, mais pas effrayante ! Dans ma cham­bre, mes murs sont couleur orange et mon lit châ­taigne. C’est assez som­bre. Je l‘ai décorée (ma cham­bre) avec des pho­tos que j’avais pris­es à Paris. Sinon, ma baguette mag­ique est grise avec mon nom inscrit dessus. Mes cheveux attachés devi­en­nent sales (car il n‘y a pas de douche) c‘est un peu la mis­ère ! Bon, je reviendrai t’écrire demain.

Dialogue Hassan, Florian et Bérengère

Ce matin, Has­san et Bérengère croisèrent Flo­ri­an, un de leur ami, à la gare de Genève. Ils décidèrent de s’asseoir dans un café près du lac et de dis­cuter un peu de leurs vacances d’hiver.

« Alors qu’as-tu fait pen­dant ces vacances Flo­ri­an ? deman­da le couple.

- J’ai voy­agé à Paris pour fêter Nou­v­el An. Et vous ?

- Il était sym­pa ton voy­age ! s’ex­cla­ma Bérengère. Nous, nous sommes par­tis à Milan pour une semaine, c’é­tait vrai­ment amusant.

- Oui, j’ai adoré cette ville ! dit Hassan.

- C’est vrai que Milan est une superbe ville, alors vous avez fêter Nou­v­el An là-bas ?

- Non, non, nous sommes revenus avant le 31 car on voulait le faire avec nos familles réu­nies, répon­dit le jeune couple.

- D’ac­cord, moi je l’ai fêté dans un restau­rant près de la Tour Eif­fel, c’é­tait telle­ment mag­nifique et ce restau­rant, les mets servis étaient excellents !

- Tu me donnes faim, dis donc ! ajou­ta Hassan.

- AHAHA, nous  allons manger un repas chez moi ? je vous invite, pro­posa Florian.

- Bon très bien alors, pourquoi pas », accep­ta le couple.

Ils s’en allèrent à pieds chez Flo­ri­an pour manger un bon repas !

Le retour des vacances.

La son­ner­ie de la récréa­tion venait de reten­tir. Has­san et Bérengère sor­tirent de leur classe pour rejoin­dre leur ami Flo­ri­an qui les attendait dans la cour, près de la poubelle.

« Bon­jour les amis ! s’ex­cla­ma Flo­ri­an en les apercevant.

- Coucou Flo­ri­an ! s’écria Bérengère. Com­ment vas-tu après ces vacances ?

- Je suis heureux de vous revoir mais le réveil à six heures et demie, les maths et les devoirs ne m’avaient pas manqué…soupira Flo­ri­an. Et vous ?

- Moi, j’é­tais bien chez ma tante, grom­mela Has­san qui était de mau­vaise humeur comme à toutes les rentrées.

- Mes vacances se sont bien déroulées, renchérit Bérengère, sans faire atten­tion à l’humeur mas­sacrante de son ami. J’ai fait un safari en Afrique avec mes par­ents puis nous sommes par­tis en Grèce ren­dre vis­ite à mon amie Manon qui réside là-bas depuis trois mois. On était très heureuses de se retrou­ver ! Vous imag­inez DEUX ANS QU’ON NE S’ÉTAIT PAS VU ! Et toi Flo­ri­an ? Racon­te-nous tes vacances !

- Je suis allé en Floride ren­dre vis­ite à mon cousin pen­dant une semaine puis je me suis ren­du au Mex­ique vis­iter l’A­ma­zonie, pour­suivi Flo­ri­an avec fierté.

- La chance, mur­mu­ra Has­san avec envie. Moi, ma tante m’a offert un nou­veau télé­phone, con­tin­ua celui-ci.

- Ta tante a l’air vrai­ment gen­tille, dit Bérengère Je l’ai aperçue l’autre jour dans un mag­a­sin qui vendait des télé­phones, elle m’avait recon­nu et m’avait fait promet­tre de ne rien te dire. Tu as vu ? J’ai tenu ma promesse ! »

La son­ner­ie les inter­rompit. Alors, ils se quit­tèrent pour aller en cours.