partie 1 Niourk

Résumé:

Un jour dans un petit vil­lage qui se situ­ait dans une vaste dépres­sion, Un vieux qu’on appelait plus sou­vent «celui qui sait tout », annonça qu’il va aller dans ce qu’ils appelaient la ville des dieux. Le lende­main, il par­tit avec Thôz(le chef de la tribu)et une poignée de chas­seurs. Une fois arrivés au début d’un chemin, les chas­seurs s’ar­rêtèrent et le Vieux con­tin­ua tout seul. Voy­ant que le vieux ne reve­nait pas, les chas­seurs retournèrent avec le chef au vil­lage. Voy­ant que le Vieux ne reve­nait pas avec les chas­seurs, l’en­fant noir alla voir de lui même. Arrivé devant le chemin qui mène à le ville des dieux(Santiag), l’en­fant appela le Vieux. N’ayant reçu aucun signe de vie, il con­tin­ua son chemin vers San­ti­ag en se répé­tant qu’il était l’a­mi des dieux. Arrivé en haut il vit la ville des dieux com­pléte­ment enneigée. Il trou­va le Vieux par terre en se dis­ant qu’il dort et con­tin­ua la vis­ite de la ville. Il y trou­va un tube argen­té et ne sait pas ce que c’é­tait. Le lende­main, il retour­na voir si le Vieux était réveil­lé, mais il se ren­dit compte qu’il était mort, donc il lui mangea le cerveau et lui arracha une vertèbre. Pen­dant ce temps, un incendie de forêt avait détru­it le vil­lage et Thôz qui était par­ti voir si le Vieux était revenu, revint au vil­lage brûlé et il ne retrou­va plus sa tribu. séparé des siens, il com­mença à marcher sans savoir où aller, mais sa tribu finit par le retrou­ver. L’en­fant noir qui était aus­si retourné au vil­lage ne savait lui aus­si où était la tribu, alors il s’en­dor­mit con­tre un arbre. Mais soudain, il fût attaqué par un jaguar et le tua avec le tube argen­té, mais sans la savoir. Le lende­main, il tom­ba sur plein de traces de pas et en con­clu que c’é­tait celles de sa tribu.

Per­son­nages:

Thôz:

- chef de la tribu

- grand, fort et rusé

Le Vieux(celui-qui-sait-tout):

- sor­ci­er

- très maigre

L’en­fant noir:

- enfant détesté de sa tribu

Soum:

- chas­seur

Thèmes:

- l’in­soucience

- le questionnement

- le perte

Narcisse

Après s’être jetée sur Nar­cisse, la nymphe se tut et Nar­cisse dit:

«Mais que faites-vous ?

-Mais que faites-vous ! répon­dit la nymphe.

-Lâchez-moi, je n’ai amour que pour moi même ! rétorqua l’orgueilleux

-Je n’ai amour que pour toi !»dit Écho.

Nar­cisse pous­sa la nymphe au sol. Blo­quée elle ne put se relever.

<Ne< m’ap­proche plus ! Dit Narcisse.

-Unis­sons-nous, je n’ai amour que pour toi,»répliqua Écho

Mais Nar­cisse, plein d’orgueil, lui dit:

« Tu n’es pas assez belle pour moi jamais tu ne pour­ras me séduire.

-Je pour­rai te séduire !» reprit-elle.

Nar­cisse plein de haine, se jeta sur elle et la noya.

Ayant assisté à cette conversation,Z déci­da de le trans­former en fleur à cause de son orgueil.

Sketch

1.  « Non, jeune homme, vous n’avez pas le droit de vous baign­er aujour­d’hui, dit l’homme de sécurité.

      ‑Mais, pourquoi mon­sieur? deman­da le garçon.

      ‑Parce qu’il fait mau­vais temps, garçon, répon­dit l’homme.

      ‑Il y a du soleil, donc c’est bon! s’ex­cla­ma l’enfant.

      ‑J’ai dit NON! il y a trop de vent, affir­ma l’homme du voix furieuse.

      ‑Mais… » bre­douil­la le garçon.

L’homme par­tit furieux et l’en­fant res­ta seul désespéré. 

 

2. C’est l’été, mais il fait mauvais.

    » Bon, tu ne vas pas nag­er! affir­ma ma mère.

   — Mais il y a seule­ment un peu de vent, maman, répondis-je.

   — Oui mais il y a du courant, dit ma mère.

   — C’est rien ça, murmure-je.

  — Non c’est sérieux, tu ne vas pas nag­er! s’ex­cla­ma maman.

  — Ok, je reste au bord. » dis-je.

 

 

Niourk partie 2,3

Résumé:

Un vide-ordure radioac­t­if  se loge dans les anciens fond de l’océan.Les poulpes noires ont muté, car il se sont fait touchés par la radioac­tiv­ité du vide-ordure, à cause de ça ils sont devenus encore plus mas­sifs et ont gag­né en intelligence.Ils vivent dans un lac salé(le reste de l’océan atlantique).Les hommes  ont peur de cette zone,la tribu doit éviter cette zone en pas­sant par le col.La marche s’éternise, Thôz voit la fatigue et décide de faire une pause au bord d’une mare tiéde.Thôz aperçoit un ours, un chas­seur lance un gros galet der­rière la tête de l’ours.La Bête énérvé se élance sur le grand Thôz.Thôz tue l’ours.Un poulpe noir décou­vre la tribu et va aver­tir les autres poulpes.La tribu campe tout près du lac salé, mau­vaise idée car cette nuit le camp se fait atta­quer par les poulpes ce qui causa 2 morts et 1bléssé.L’enfant noir con­tin­ue sa balade et tombe sur le squelette de l’ours, l’enfant se fait chas­s­er par un autre ours et arrive a le planter.Peu après la tribu subi une nou­velle attaque.L’enfant noir décide de pas l’achever et le nour­rit et même à le dresser.Quelque jour suf­fit à l’ours pour se remet­tre en forme, l’ours lui sert de trans­port ils décou­vre le camp dévasté et un poulpe géant l’enflant noir le tue et con­tin­ue son rit­uel manger les cervelles et offre une ten­tac­ules à son ours.Les poulpes ont cap­turé la tri­bunes mutants étaient prêts à manger un par un les mem­bres de la tribu, mais s’étaient sans compter l’enfant noir qui tua les poulpes.

per­son­nage:

Ours:l’ours et devenus l’a­mi de l’en­fant noir,cet ours est courageux

Les poulpes noirs:ils ont muté sont devenus grand et malin,ils ont su faire preuve de mal­ing­nité en attaquant la tribu.

Par­tie 3:Les effets sec­ondaire des poulpes se font resen­tir sous l’ef­fet de la radioac­tiv­ité. La tribu décide d’aller à Niourk. L’en­fant noir a été pro­mu mais se partage le pou­voir avec Thôz. Ils par­tent au nord. La tribu ren­con­tre une jeune per­son­ne en combinaison,l’enfant noir croit que c’est un dieu, et l’at­taque mais il est pro­tégé. Ce jeune homme vient de niourk. La tribu à l’embouchure du fleuve Huds. Depuis avoir mangé la cervelle de poulpe son intel­li­gence croit rapi­de­ment. Les cas des chas­seurs s’ag­gravent à cause de la radioac­tiv­ité. Bagh meurt puis suivi de Thôz. La tribu se disperse.L’enfant noir ne craint rien car il a mangé la cervelle des poulpes. Il arrive enfin à Niourk. L’en­fant prend la stat­ue de la lib­erté pour une déese. Accom­pa­g­né de son ils ren­con­trent une paire robots humanoïde qui les accueil, les robots tombent en panne et ils pour­suiv­ent leur balade.

LU p. 260 ex. 3

Sketch 1 :
« Que fais-tu ici ? demandai-je au petit garçon qui court vers la plage.
— Je suis venu me baign­er, répondit-il.
— Je suis sincère­ment désolé, mais tu n’as pas le droit de te baign­er maintenant.
— Mais je suis venu de très très loin.
— Ce n’est pas une ques­tion de tra­jet, mais de météo. Il va y avoir un orage.
— Je com­prends main­tenant. Je vais retourn­er chez moi.»

Sketch 2 :
«Où vas-tu fis­ton? demandai-je.
— Je vais à la plage en face de la mai­son, répondit-il.
— Ne va pas dehors. C’est trop dan­gereux de sor­tir maintenant.
— Pourquoi est-ce dangereux?
— Car il y aura un orage et les vagues vont devenir énormes. Je t’in­ter­dis de sortir.
— D’ac­cord. Je promets de ne pas sortir.»

Sketch 1–2

L’ enfant avança vers moi et me demanda :

«Mon­sieur, est-ce que j’ai le droit de me baign­er dans la mer ?

-Non ! Désolé. Une autre fois.

-Pourquoi ? C’est inter­dit ? demanda-t-il.

-Non, ce n’est pas inter­dit. C’est à cause du mau­vais temps ! C’est très dan­gereux d’aller se baign­er maintenant.

-Ah bon ? Pourquoi ? ajou­ta l’enfant.

-Parce que les vagues peu­vent t’emporter vers le milieu de la mer par exemple.

-Ok, d’ac­cord. Au revoir monsieur.

-Au revoir, jeune homme !»

Et l’en­fant retour­na vers ses parents.

 

 

 « Papa, est-ce que je peux aller me baign­er dans la mer ?

-Non, désolé !

-Mais pourquoi ? dit l’en­fant déçu.

-Tu ne vois pas le temps qu’il fait ?

-Mais ce n’est pas grave. répon­dit-il d’un air triste.

-Si, car ça peut être très dangereux.

-Bon d’ac­cord mais, est-ce que je pour­rais me baign­er demain ? interrogea-t-il.

-Oui, s’il fait beau. »

Niourk 3

Par­tie 3

Chapitre 1 : Les entrailles des hommes com­men­cent à briller sous l’effet de la radioac­tiv­ité des poulpes ingérés. Thôz et l’enfant noir se parta­gent le pou­voir, mais l’enfant avec son arme est le véri­ta­ble maître de la tribu. Ils déci­dent de rejoin­dre Niourk, la grande ville des dieux.

Chapitre 2 : L’enfant noir con­duit les chas­seurs tou­jours plus au nord. Il ren­con­tre un homme imberbe en com­bi­nai­son couleur cuiv­re qu’il prend pour un dieu. Il lui tire dessus avec son arme, mais l’homme est pro­tégé par sa com­bi­nai­son. Ce dernier lui dit qu’il vient de Niourk.

Chapitre 3 : Depuis cette étrange ren­con­tre l’enfant noir a hâte d’arriver à Niourk. La tribu arrive enfin à l’embouchure du fleuve Huds. L’enfant noir décou­vre que son intel­li­gence s’accroît rapi­de­ment, sous l’effet radioac­t­if de la cervelle de poulpe séchée qu’il a ingérée pen­dant 15 jours.

Chapitre 4 : La tribu com­mence à remon­ter le fleuve Huds. Les chas­seurs sont de plus en plus malades à cause des ten­tac­ules radioac­tives qu’ils ont ingérées. Bagh meurt le pre­mier, son corps gon­fle d’hélium et se met à flot­ter. Thôz meurt à son tour. La tribu affolée se dis­perse. Seul l’enfant noir était stim­ulé par la radioac­tiv­ité car il était le seul à s’être nour­ri avec les cervelles des monstres.

Chapitre 5 : L’enfant noir arrive enfin à Niourk avec ses build­ings et son immense stat­ue de femme. L’enfant noir prend cette dernière pour une déesse, puis il com­prend qu’il ne s’agit en réal­ité que d’une stat­ue. Son intel­li­gence se développe de plus en plus rapidement.

Chapitre 6 : L’enfant noir et son ours ren­con­trent deux robots humanoïdes qui les inter­ceptent. La pile des robots tombe en panne, l’enfant et son ours pour­suiv­ent leur vis­ite de la ville. Il mange de la nour­ri­t­ure synthétique.

Niourk 2

Par­tie 2

Chapitre 1 : Un ancien oléo­duc con­tenant des déchets radioac­t­ifs gît dans ce qui était autre­fois le fond de l’océan.

Chapitre 2 : Les poulpes noirs ont muté suite aux fuites radioac­tives de l’oléoduc. Ils sont d’une taille supérieure et d’une intel­li­gence moins grossière. Ils sur­vivent dans un lac salé, reli­quat de l’ancien océan atlantique.

Chapitre 3 : Les hommes évi­tent de s’aventurer dans les par­ages du lac salé.

Chapitre 4 : La tribu s’apprête à franchir le col pour éviter le lac salé et les poulpes radioactifs.

Chapitre 5 : La tribu s’engage dans une gorge en file indienne.

Chapitre 6 : La tribu épuisée par la chaleur décide de s’arrêter au bord d’une mare tiède pleine de poissons.

Chapitre 7 : Un ours qui attaque les chas­seurs est tué par Thôz.

Chapitre 8 : Un poulpe décou­vre la tribu tan­dis qu’il chas­se en soli­taire. Il part en direc­tion du grand lac salé pour aver­tir ses semblables.

Chapitre 9 : La tribu décide de camper à prox­im­ité du lac salé.

Chapitre 10 : Les poulpes géants attaque­nt la tribu pen­dant la nuit. Deux hommes meurent et un autre est blessé à l’épaule.

Chapitre 11 : La tribu enterre ses morts. Les hommes déci­dent de manger les ten­tac­ules d’un poulpe tué par Thôz.

Chapitre 12 : L’enfant noir décou­vre le squelette de l’ours tué par Thôz et mangé par la tribu. L’enfant noir est attaqué à son tour par un ours qu’il finit par bless­er avec son arme.

Chapitre 13 : La tribu doit subir une sec­onde attaque des poulpes.

Chapitre 14 : Au lieu d’achever l’ours, l’enfant noir lui donne à boire et à manger. Il parvient à domes­ti­quer la bête.

Chapitre 15 : Au bout de 5 jours, l’ours est à nou­veau valide. Il sert de mon­ture à l’enfant noir. Ils décou­vrent le campe­ment dévasté. L’enfant noir tue un poulpe géant avec son arme. Il mange la cervelle du mon­stre tan­dis que l’ours mange un tentacule.

Chapitre 16 : Les poulpes ont cap­turé et lig­oté les mem­bres de la tribu. Tan­dis que les mon­stres com­men­cent à dévor­er les hommes et les femmes de la tribu un par un, l’enfant noir tue les poulpes avec son arme.

Sketchs

Sketch 1)

Sur une plage, le temps est devenu très mau­vais. Il fait froid donc il faudrait éviter d’aller nag­er dans l’eau. Un jeune garçon se dirige dans l’eau :

« Bon­jour petit, je suis désolé mais aujour­d’hui tu ne peux pas aller nag­er. Il fait très froid et les vagues sont assez fortes. Où est ta mère ? Il faut que tu ren­tres à la mai­son avec elle, expli­qua le maître nageur.

- Bon­jour Mon­sieur. Ma mère est au café un peu plus haut, mais elle m’a promis qu’au­jour­d’hui je pour­rai aller nag­er, c’est injuste ! dit le garçon en s’agaçant.

- Je sais que tu aimerais nag­er, mais le temps est bien trop dan­gereux pour un petit garçon comme toi. Est-ce que tu as un moyen pour appel­er ta mère ?

- Non, je n’ai pas de télé­phone. Quand est-ce que je pour­rai aller nag­er Mon­sieur ? insista le petit.

- Aujour­d’hui, il est impos­si­ble de nag­er mon petit. Attends-moi là, je vais te rac­com­pa­g­n­er jusqu’à ta mère, d’ailleurs com­ment tu t’ap­pelles ? deman­da le maître nageur.

- Je m’ap­pelle Tom. Ma mère m’a dit qu’elle vien­dra me chercher à qua­torze heures et que je devais impéra­tive­ment l’at­ten­dre ici et ne pas partir. »

Au loin, une jeune femme arrivait. C’é­tait la mère de Tom. Le maître nageur salua le petit garçon et il repar­tit sur la plage prévenir les autres per­son­nes de par­tir à cause du mau­vais temps.

Sketch 2)

Sur une plage, une petite fille du nom d’E­my voulait aller nag­er dans la mer. Sa mère remar­qua que les vagues étaient très hautes et dangereuses :

« Emy, je préfère que tu n’ailles pas nag­er dans l’eau, les vagues sont dan­gereuses, prévint la mère.

- Oh non ! Je veux aller nag­er ! Je n’ai pas peur des vagues et si tu ne veux pas que j’aille nag­er toute seule, viens avec moi, deman­da la petite fille.

- Même moi je suis trop petite en taille pour affron­ter ces vagues. Non, c’est non, nous allons ren­tr­er. Et regarde le ciel, il est tout gris. Le maître nageur ne va pas tarder à nous deman­der de rentrer.

- Je veux nag­er moi. C’est vrai que le ciel est gris, mais je ne nage pas dans le ciel, je nage dans la mer, » insista Emy.

Un coup de sif­flet reten­tit, le maître nageur indi­qua qu’il fal­lait ren­tr­er car une tem­pête se préparait :

« Tu vois, il faut que nous ren­tri­ons sinon la tem­pête va nous emporter. Ne t’in­quiète pas, demain nous retournerons à la plage, je te le promets, jura sa mère.

- Bon, d’ac­cord. Et c’est vrai que les vagues font peur, mais demain je vais aller nag­er avec ou sans les vagues, affir­ma la jeune fille avec courage.

- Oui oui, nous ver­rons demain si le temps sera plus glo­rieux qu’au­jour­d’hui ! » annonça la mère.

La mère et sa fille ren­trèrent à la mai­son avant que la tem­pête n’ait eu le temps de commencée.

sketch un + deux ;

LIVRE UNIQUE PAGE 260 ; 

sketch un ; 

Un petit enfant se met à courir autour de la piscine munic­i­pale et, comme je suis le maitre nageur, je l’interpelle pour lui rap­pel­er cer­taines règles :

« Petit, arrête-toi ! Il est stricte­ment inter­dit de se déplac­er en courant ici. Tu ris­querais de tomber et de te blesser.

- Ah..je ne savais pas, mon­sieur. Excusez-moi. »  me répond le garçon en repar­tant vers sa mère.

Je dois revenir expli­quer une autre règle au même enfant qu’il ne sem­ble ne pas savoir non plus :

« Il est égale­ment inter­dit de con­som­mer de la nour­ri­t­ure ici. Si tu veux manger, il faut que tu ailles dans le petit restau­rant réservé à ça, lui expliquè-je gentiment.

- Oh, je suis vrai­ment désolé, je ne le savais pas non plus ! s’exprima timide­ment le petit. Auriez-vous d’autres règles à me rap­pel­er, Mon­sieur ? me-demande l’enfant.

- Oui, tu n’as pas le droit de sauter lorsqu’il y a du monde dans la piscine et si tu n’es pas sur­veil­lé pen­dant ton saut, prévenè-je le garçon pour éviter de devoir lui redonner des indi­ca­tions plus tard.

- Super ! Main­tenant, je ne ferai plus d’erreurs, mer­ci ! » me répond le petit en allant au toboggan.

 

sketch deux ;

Étant don­né que ma femme est par­tie pour son voy­age d’affaires, je dois éclair­cir cer­taines règles avec mon fils :

« Je vais t’expliquer com­ment fonc­tion­neront les règles durant l’absence de maman. Tu as l’oblig­a­tions de m’é­couter et de me respecter. Fais ton lit chaque matin avant de par­tir à l’école et prends bien toutes tes affaires de cours ! lui expliquè-je.

- Ouais, ouais, ok ! Ai-je le droit d’inviter Max à dormir cette semaine ? me demande mon fils.

- Bien sûr que non ! Il y a école et je ne veux pas me faire gron­der au retour de ta mère et toi non plus, je pense. Aller file pren­dre ton bus ! Tu vas être en retard. À ce soir fis­ton ! 

- A ce soir ! Et surtout, n’ou­blie pas d’emmener ma soeur à la crèche ! me réplique-t-il sur un ton de moquerie.

- Oui, oui, aller, aller, part car si ta mère apprend que tu a été en retard tu…

- Oui je sais ! Je te con­seille d’aller réveiller ma soeur main­tenant, a plus ! me répond-il en fer­mant au plus vite la porte der­rière lui.