Dialogue patate-guitare

« Bon, où me suis-je arrêtée ? deman­da la gui­tare à la patate.

- Au moment où ton maître t’a cassé une corde, répon­dit la patate.

- A! je m’en sou­viens! alors écoute la suite… »

Pen­dant ce temps, le directeur ces­sa d’écrire et il mit son oreille plus près de la gui­tare qui racon­tait sa vie.

« Mais  c’est pas pos­si­ble ! Une gui­tare qui par­le ! » s’écria le directeur.

La gui­tare ces­sa de par­ler. Elle était surprise.

« Puisque vous êtes capa­bles de par­ler, j’aimerais bien que vous jouiez une scène à la prochaine représen­ta­tion de notre cirque, pro­posa le chef.

-Mais, Mon­sieur, de quoi doit-on par­ler? ques­tion­na la patate.

-De tout et de n’im­porte quoi, affirma-t-il.

-Com­ment ça? demande la guitare.

-Vous pou­vez par exem­ple racon­ter votre vie ou bien… 

Mais, en fait com­ment vous savez par­ler? répli­qua le directeur d’un air curieux.

E! bien ça c’est un grand secret! » répondirent la gui­tare et la patate en même temps.

La patate et la guitare

Alors le chem­ineau sor­tit de la roulotte. Puis la gui­tare lança la conversation:

« Il nous a pris pour qui ? deman­da la guitare.

- Je ne sais pas, mais ce que je sais c’est faut qu’on s’é­vade d’i­ci, répon­dit la patate.

- Oui ça je sais mais com­ment ? rétorqua la guitare.

- J’en ai aucune idée, il faut qu’on fasse un plan, répon­dit le légume.

- On pour­rait sor­tir par la fenêtre, lança l’instrument.

- Bonne idée ! dit la patate avec joie.

- Allons‑y ! répli­qua l’objet.

Elles n’eurent le temps de bouger qu’elles entendirent une voix der­rière elles.

- Donc vous par­lez vrai­ment ? deman­da le directeur avec stupéfaction.

Les deux se turent et ne bougèrent plus.

- Inutile de vous taire car je viens de vous entendre.

- Oui, mais on ne voulait pas que ce chem­ineau nous vende, on le déteste ! expli­qua l’aliment.

- Ah je vous com­prends, sinon ça vous dirait de jouer dans une pièce de mon cirque ? ques­tion­na le directeur.

- Car­ré­ment ! répondirent les deux en criant.

Dialogue entre la patate, la guitare et le directeur

Dès que le chem­ineau est sor­ti du bureau, le directeur part aux WC. La patate et la gui­tare ignorent que les toi­lettes sont juste à côté et elles com­men­cent à parler :

« Il a cru nous met­tre dans un cirque celui-là, ricane la patate.
— Même si notre tal­ent est très grand, répon­dit la gui­tare, on ne veut pas aller au cirque.
— Ceci est trop tard. Je vous ai entendues. »
Le directeur est revenu :
 » Mince, soupire la patate. On aurait dû se taire.
— Bon, si on en est là, c’est à cause du chemineau.
— Il ne me men­tait donc pas, affirme le directeur. Incroyable.
— Qu’allez-vous faire de nous? demande la guitare.
— Mais oui! s’ex­clame la patate. Si on est ici, vous allez nous don­ner de quoi faire.
— Bien sûr. Où avais-je la tête? Vous allez me faire un numéro de cirque.
— Mais lequel? ques­tionne la patate.
— Vous allez faire des blagues en public.
— Mais nous ne sommes pas prêtes, expli­qua la guitare.
— Juste faites-en une pour moi, juste là. »
Le directeur s’as­soit con­fort­able­ment sur sa chaise et écoute :
 » Dring dring, fait la patate.
— Bon­jour, qui est-ce? réplique la guitare.
— Sara.
— Sara qui?
— Sara Croche ( ça raccroche ).
— Par­fait, inter­rompt le directeur. Vous allez être des stars. »
Depuis ce jour, les deux amies font rire tous les spectateurs.

Dialogue «patate-guitare»

Précédem­ment:

-Mais non, M’sieu l’Di­recteur ! Je vous assure, elles par­lent, toutes les deux ! En ce moment, elles font leur mau­vaise tête, exprès pour m’embêter, mais…

-Sortez !

Suite:

-Mais !? essaya de s’ex­primer le chemineau.

-Je vous ai demandé de sor­tir de mon bureau ! Ce n’est tout de même pas com­pliqué ? Et puis… ce n’est pas comme si cette gui­tare ou cette «patate» allaient se met­tre à par­ler ! Mon ami… c’est la vie réelle…

-C’est quoi tout ce bou­can !? s’ex­pri­ma la gui­tare qui en avait marre de ce charabia.

-Mais non ! Tu ne devais pas par­ler ! On s’é­tait mis­es d’ac­cord pour se venger du chem­ineau de nous avoir kid­nap­pées ! chu­cho­ta la «patate» tout en s’énervant.

-L-La gui-gui­tare et la «pa-patate»… par­lent !? Alors c’é­tait vrai !? s’é­ton­na le directeur à sa plus grande surprise.

-Ah… non… je ne vois pas de quoi vous par­lez ! par­la la guitare.

-Moi non plus ! répon­dit la «patate».

-C’est… incroy­able ! C’est décidé… je vous engage dans mon cirque ! Mais encore plus, je vous engage dans mon numéro de «clown» ! les félici­ta le directeur, qui, lui, est encore étonné.

-Ah non ! Je ne veux pas être déguisée en clown ! s’écria la guitare.

-Tu n’avais qu’à te taire ! C’est trop tard main­tenant ! mur­mu­ra la patate.

Fin du dialogue entre la patate et la guitare

« C’est bon, il est par­ti, mur­mu­ra la patate.

- OK, répon­dit la guitare.

- Où en étions-nous ? deman­da la patate. »

Soudain, le directeur enten­dit la patate et intervint.

« Alors, vous par­lez vraiment!

- Bah oui on par­le, même que le chem­ineau nous a volés à notre maîtresse!

- Voudriez-vous faire par­tie de mon cirque? risqua le directeur.

- Oui bien sûr! dirent la patate et la gui­tare en même temps.

- Cool, mais, s’il vous plaît, ne par­lez pas en présence d’autres per­son­nes. Vous devez être le clou du spectacle.

- Oui, d’ac­cord, mais en échange vous nous mari­erez! rétorqua la guitare.

- Ça roule, » ajou­ta le directeur.

Et ça s’est déroulé comme les trois per­son­nages le voulaient.

Dialogue patate et guitare

-Mais Mon­sieur, elles sont timides…

-J’ai dit « Sortez! », hurla le directeur fou de rage.

Le vagabond sor­tit de la car­a­vane et atten­dit à côté de celle-ci.

« C’est bon, deman­da la gui­tare, il est parti ?

-Oui, je crois, répon­dit la patate. »

Et elles se mirent à dis­cuter sans se souci­er de savoir si on les entendait.

« Mais c’est incroy­able! cria une voix. Donc le chem­ineau ne men­tait pas!

-Oh mince, inter­rompit la patate.

-De quoi? s’in­ter­ro­gea la guitare.

-Mais tu vois bien, s’énerva la patate, ce gros bar­bu a décou­vert notre secret. Il va aller le dire à tout le monde et…

-Je vais être célèbre, cria-t-il tout heureux. Je vais met­tre des affich­es dans toute la ville et tout le monde voudra venir voir mon spectacle.

-Quelle sorte de spec­ta­cle? dit la patate.

-De cirque, bien évidem­ment! rétorqua le directeur.

-Bon, j’ai un marché à vous pro­pos­er : si vous nous logez, vous nous ali­mentez et vous nous payez, on est d’accord de par­ticiper à votre spec­ta­cle, pro­posa la patate au gros monsieur.

-Marché con­clu! », ajou­ta l’homme et il les emme­na dans leur loge respective.

Niourk ( complet )

Résumé :
   Entre la chaine Cuba, les monts Haït et les con­tre­forts de Jamaï se trou­ve une tribu. Après une cat­a­stro­phe nucléaire, ces êtres humains sont retournés au stade prim­i­tif. Après le din­er, le Vieux dit qu’il allait par­tir à la ville des dieux : San­ti­ag. Les femmes de la tribu don­nent des peaux et des pro­vi­sions aux Vieux et il dit que quand il revien­dra, l’enfant noir mour­ra. Puis il se mit en route. Il escalade les mon­tagnes de Cuba. Il arrive enfin à San­ti­ag. Il se dirige vers une bâtisse sans fenêtre et sans toit. Là-bas, des inscrip­tions incom­préhen­si­ble sont inscrites sur les murs. Le Vieux pense qu’il est devenu un dieu. Mais, comme son nom l’indique, il est trop vieux et n’a plus la force pour se tenir debout. Il meurt donc. Pen­dant ce temps, l’enfant noir s’infiltre dans la tente du Vieux par der­rière. Il s’équipe de four­rures et de pro­vi­sions et il va chercher le Vieux. Il le retrou­ve mort à San­ti­ag, dans la bâtisse. L’ enfant mange cervelle, arrache une vertèbre et l’accroche au chapelet comme la tra­di­tion le veut. Il tire le cadavre vers une ligne de metro, s’empare du chapelet, ramasse une arme à feu dans un com­mis­sari­at et repart vers la tribu. En revenant, un jaguar l’attaque. L’ enfant bran­dit son arme ne sachant pas ce qu’elle fait et ceci tu l’ ani­mal. Il tire dans un arbre pour essay­er son arme et la forêt com­mence à bruler. De son côté,Thôz, un chas­seur de la tribu, est pour­suit par un troupe de chien sauvage. En fuyant, les flammes le rat­trape. Il se cache dans un marécage, mais cela ne fait qu’aggraver ses blessures. Il ren­tre au vil­lage saint et sauf. Il se repose, se soigne et, plus tard, la trib­ut part au pays des mon­stres. Sur son chemin, le garçon cherche les derniers pas de la trib­ut. Il la suit. Elle ren­con­tre, sur son pas­sage, un ours. Thôz le tue pour que la trib­ut ait de quoi mangé. Ils man­gent tous de la viande et ils repar­tent, le ven­tre rem­pli. Ils s’en­dor­ment près d’un étang. De son côté, l’en­fant noir retrou­ve le squelette de l’ours atta­quer par la tribu et devient le maître d’un autre. Ils man­gent bien et con­tin­u­ent la marche. La tribu se fait atta­quer par des mon­stres. Heureuse­ment, Thôz blesse en un et ils pren­nent la fuite. Le lende­main, alors que trois chas­seurs doivent couper du bois, ceux-là retrou­ve le mon­stre blessé mort. Thôz et les trois autres chas­seurs rap­por­tent le corps au près de la tribu. Ils man­gent, pour ce soir, les ten­tac­ules du poulpe géant. Ceci fait briller leurs estom­acs et ça fait peur à la tribu. Mais Thôz les ras­sure en leur mon­trant que cela le rend plus fort. Ils s’en­dor­ment pais­i­ble­ment. Quand l’en­fant noir arrive au campe­ment de la tribu, per­son­ne n’est là. Quand Thôz se réveille, il est attaché avec le reste de la tribu près du lac des mon­stres. Un mon­stre surgie et mange la tête d’un femme. Quand le tour de Thôz vient, le poulpe le lache et se dirige dans les bois avec quelques com­pagnons pour affron­ter l’en­fant noir et l’ours qui arrivent pour sauver la tribu. L’en­fant gagne la bataille et sauve la tribu. Ils remon­tent tous au campe­ment et man­gent plus de mon­stre. Ils s’en­dor­ment avec l’en­fant noir. Le lende­main, l’en­fant va dans la jun­gle et ren­con­tre Doc 1. Mais ils ne se con­nais­sent pas. Le Doc 1 lui dit d’aller à Niourk. Alors la tribu va là-bas. Sur le chemin, la tribu meurt à cause de la viande radioac­tive. Seuls l’en­fant noir et l’ours sont tou­jours vivants. Ils con­tin­u­ent à marcher et, pour finir, arrive à Niourk. Là-bas, il mange du pois­son synthétique.

Per­son­nages :

Nom Présence Âge Traits physiques Pen­sés Impor­tance dans l’œuvre
Le Vieux Présent Vieux Faible Devenir un dieu Il sait tous
L’en­fant noir Présent Enfant Mai­gre Devnir le vieux His­toire cen­trée sur lui
Thôz Présent Adulte Fort Bat­tre les monstres Encour­ager la tribu
Bagh Présent Adulte Fort ? Aider Thôz
L’ours Présent ? Grand ? Aide l’en­fant noir
Doc 1 ( homme mystérieux ) Présent Adulte Intel­li­gent Il n’est pas le seul survivant Envoy­er la tribu vers Niourk

Thèmes : Tolérance et différence.

 

Chemineau

Après être sor­ti, le chem­ineau alla s’asseoir. Ensuite, il alla aux toi­lettes. Pen­dant ce temps, le directeur se glis­sa au-dessus de la fenêtre à moitié ouverte et écouta :

« On l’a bien eu, dit la guitare!

-Tu as vu, il pen­sait se faire de l’ar­gent sur notre dos », répon­dit la patate!

Le directeur tout étour­di leur dit :

« C’é­tait vrai vous par­lez vraiment ?! »

Silence.

« Oh, mais c’est bon, je vous ai déjà entendu. »

Le chem­ineau revint dans la pièce. Le directeur dit :

« Je vous les achète 700.- l’unité !

-C’est d’ac­cord. »

Après la trans­ac­tion, cha­cun repar­tit de son côté et, depuis, on dit que le directeur devint pau­vre car la patate et la gui­tare n’ont plus jamais parlé.

Mon premier jour à Poudlard (dans un journal intime )

Cher Pat­mol,

Aujour­d’hui, j’ai été admis à Poud­lard. Ici, on n’arrête pas de par­ler des exploits de Har­ry Pot­ter con­tre Volde­mort (j’aimerais bien être aus­si fort que lui en défense con­tre les forces du mal). Les deux pre­mières péri­odes de cours se sont passées dans la serre en présence du pro­fesseur Lon­du­bat (qui est très gen­til). Pen­dant le cours de botanique, nous avons étudié les man­dragores qui sont des plantes vertes, brunes et surtout très bruyantes. Ensuite, je suis allé en cours de méta­mor­phose avec le pro­fesseur McG­o­na­gall. J’aime beau­coup cette branche de la sor­cel­lerie, mais je préfère par-dessus tout la défense con­tre les forces du mal. Mon pre­mier dîn­er à Poud­lard était génial. Ensuite, j’ai eu une péri­ode de potion avec le pro­fesseur Slughorn (qui m’in­vite sou­vent à ses soirées). Après le cours de potion, je me suis pré­paré pour une péri­ode d’his­toire de la magie en com­pag­nie du pro­fesseur Binns. Je déteste cette branche. A la fin de la journée, je suis allé me couch­er. Et par chance, je suis avec Ted­dy Lupin (qui a tou­jours un ours brun en peluche) et James Pot­ter (le fils de Har­ry Pot­ter) dans le même dor­toir. Comme je ne vais pas tarder à fer­mer les yeux, je te dis bonne nuit cher Patmol.

Journal intime Poudlard

10 sep­tem­bre 2019, dortoir

Aujour­d’hui, c’est mon pre­mier jour à l’é­cole de Poud­lard, la plus grande école de sor­cel­lerie d’Eu­rope ! Le pro­fesseur Rogue est venu nous chercher toutes les pre­mières années (dont moi). Il nous a emmenés dans la grande salle où tous les autres élèves étaient déjà instal­lés. Le pro­fesseur Rogue nous a instal­lés au pre­mier rang pour débuter la céré­monie du Choix­peau qui dis­tribue les élèves dans les dif­férentes maisons: Gryf­fon­dor, Pouf­souf­fle,  Ser­daigle et Ser­pen­tard. Ensuite, le directeur de l’é­cole, Dum­b­le­dore, s’est mis sur une sorte de tabouret. Il a une barbe grise et longue, des cheveux gris et des lunettes en demi-lune. Il est très vieux, mais per­son­ne ne sait quel âge il a.

Il nous a appelés tour à tour et enfin cela a été le mien. Je me suis avancée devant le Choix­peau mag­ique et le directeur l’a mis sur ma tête et le Choix­peau a crié : « Gryf­fon­dor ». J’é­tais super con­tente d’aller dans cette mai­son, car dans le train, je me suis fait deux amis qui se trou­vent égale­ment dans celle-ci.

Il est tard et je suis épuisée. Je vais dormir.

À demain !