Auteur/autrice : administrateur

2 mars 1970
Cher Lupin,
Aujour­d’hui, j’ai été très occupée. Ce matin, quand je me suis réveil­lée, j’ai sauté hors de mon lit, enfilé ma jaque­tte vert émer­aude, mon jog­ging gris et mes chaus­sons ros­es, et je suis descen­due à toute vitesse à la salle com­mune. Dans la chem­inée brûlait un feu crépi­tant et tous mes amis étaient rassem­blés autour pour m’ac­cueil­lir : c’é­tait mon anniver­saire! Ils étaient tous là sauf le pau­vre Neville qui s’é­tait cassé un bras et était à l’in­firmerie. Ils m’ont souhaité joyeux anniver­saire, puis nous sommes tous descen­dus pour pren­dre notre petit-déje­uner. Après avoir mangé plein de bonnes choses comme de la tarte, de la con­fi­ture, ou encore des pan­cakes, je suis remon­tée dans ma cham­bre me pré­par­er pour mon match de Quid­ditch con­tre les Ser­pen­tard. J’ai enfilé mon t‑shirt avec le bla­son des Grif­fon­dor dessus, mes shorts rouges et je suis allée au stade pour dis­cuter de notre tac­tique de jeu avec mon équipe. Nous étions en train de per­dre quand, tout à coup, le vif d’or est apparu devant moi. J’ai accéléré pour ten­ter de l’attraper, mais au même moment, un Cog­nard est arrivé par-der­rière et m’a fon­cé dessus. Je l’ai pris en pleine tête et j’ai été pro­jetée en avant. Juste avant de m’é­vanouir, j’ai sen­ti quelque chose me ren­tr­er dans la bouche : c’é­tait le vif d’or! Mais à ce moment-là, je ne m’en suis pas aperçue étant don­né que j’é­tais tombée dans les pommes. J’ai quand même eu de la chance, car Mme Bib­ine m’a rat­trapée juste avant que je m’écrase au sol. Et c’est comme ça que je me suis retrou­vée dans l’in­firmerie, dans le lit juste à côté de celui de Neville, d’où je t’écris en ce moment même. Au moins, grâce à moi, nous avons quand même gag­né ce match et j’espère que je serai rétablie jusqu’au prochain. Main­tenant je vais me couch­er, car j’ai eu une journée très chargée. Je te promets de t’écrire demain vu que, de toute façon, je n’au­rai rien d’autre à faire. 

A demain!

4 mars 2020,

Cher jour­nal,

Aujour­d’hui, le temps ne s’est pas présen­té très char­mant : une grosse pluie épaisse tombait depuis ce matin, un vent fort souf­flait con­tre les vit­res de ma cham­bre et d’énormes nuages gris était présents dans le ciel. Ce matin, je me suis lev­ée tôt car c’é­tait l’an­niver­saire de Har­ry. En com­pag­nie d’Hermione et de Ron, nous avons décidé de lui organ­is­er une petite fête sur­prise : on s’y était pris plusieurs jours à l’a­vance, mais ce temps plu­vieux a tout gâché ! Nous avons donc dû réor­gan­is­er tout cela dans la salle de réu­nion. Har­ry est vrai­ment une per­son­ne excep­tion­nelle ! J’adore traîn­er avec lui, on rigole bien. Après la petite fête, Har­ry, Hermione, Ron et moi sommes mon­tés dans notre cham­bre et avons beau­coup dis­cuté. Nous ne pou­vions mal­heureuse­ment tou­jours pas sor­tir par ce temps igno­ble, mais nous avons pu révis­er nos for­mules écrites dans le livre de couleur brunâtre à l’in­térieur duquel tout ce que l’on doit savoir y est regroupé. Ensuite, vers dix-huit heures, nous sommes allés manger, je me suis assise avec mes amis et nous avons con­tin­ué de bavarder douce­ment. Ce fut une mag­nifique soirée, dans le calme et la sérénité.

26 Jan­vi­er 2003

Salut mon jour­nal de bord,

Aujour­d’hui, une journée comme les autres se finit. D’abord, nous sommes descen­dus au réfec­toire comme chaque matin pour y déje­uner, sauf que, quand j’ai mangé avec Arsène, il a fait tomber du thé sur mes gants ros­es et ils sont devenus mar­ron. Après ça, j’ai eu mon cours de quid­ditch avec Miroslav, il est très mal­adroit. En faisant l’échauf­fe­ment, il a fait tomber mes gants devenus mar­ron. Débous­solé, il a hésité à aller les chercher, car il ne maîtrise pas son bal­ai comme moi. Mon cama­rade a pris son courage à deux mains et il s’est élancé, il est descen­du petit à petit en arrivant à quelques mètres du sol, il a fon­cé dans la pelouse verte, évidem­ment c’é­tait trop beau pour qu’il y arrive. Mme Sor­cel­lerie est arrivée à son sec­ours et elle l’a aidé à  attein­dre son but. Là, au moment où j’écris, je suis dans le dor­toir et les autres dorment.

Poud­lard, 2 mars 2020

Cher jour­nal,

Aujour­d’hui, je suis arrivée à Poud­lard. Il y a plein de sor­ciers super sym­pas qui nous ont mon­tré des tours de magie géni­aux. Les murs gris sont pleins de tableaux bizarres, on croirait presque qu’ils sont vivants ! Et les escaliers ne font que de bouger. On nous a emmenés dans la salle com­mune de nos maisons, moi je suis chez les Ser­pen­tard avec ma soeur et ma cou­sine. Au moment où je t’écris, j’y suis tou­jours. Mon lit orange ne fait que de grin­cer, mais ce n’est rien com­paré à l’ar­moire verte de ma soeur. C’est cool que j’ai été mise dans la même cham­bre qu’elle et ma cou­sine même si on risque de beau­coup se dis­put­er. Nos cours com­menceront demain, d’abord par des cours de vol, puis de potions. Demain après-midi, on n’au­ra pas de cours car il y a un grand tournoi de quidditch.

Le 2  mars 2020.

Aujour­d’hui, c’est mon pre­mier jour à Poud­lard. C’est une école très mys­térieuse. Elle est grande et rem­plie de per­son­nages pas comme les autres. En arrivant, j’ai vu un géant. Il parais­sait méchant, mais au fond il était très gen­til. Il avait des cheveux mar­ron et des yeux bleu clair. Son habit était con­sti­tué d’une veste grise, d’un jeans bleu et d’énormes chaus­sures brunes. D’abord, il nous a salués. Ensuite, nous sommes ren­trés dans l’é­cole. En pre­mier, deux messieurs nous ont répar­tis dans les cham­bres. Puis, nous sommes allés souper et, pour finir, je suis par­tie dormir.

Le 21 novem­bre 2021.

Aujour­d’hui, je suis pré­paré pour pren­dre le métro. J’ai mis ma chemise bleue, me suis coif­fé, ai mangé mon petit déje­uner, suis sor­ti de chez moi et ai pris le métro. Arrivé à Poud­lard, je suis mon­té dans ma classe au 9e étage. J’y ai trou­vé le matériel pour invo­quer des drag­ons. Mais je n’ai réus­si qu’à invo­quer un ser­pent. La son­ner­ie a reten­ti. Je suis allé à mon sec­ond cours qui est un cours de gym, on a fait des jeux et, quand on a fini, je suis ren­tré chez moi.

Hier, à six heures du matin, je suis arrivée à la gare pour Poud­lard. J’y ai vu des sor­ciers et je me réjouis de faire leurs con­nais­sances. Mes amies m’ont prév­enue : je vais ador­er. Je suis entrée dans le train et je l’ai trou­vé très bruyant. Tout le monde était excité. Une fois dans l’é­cole, je suis allé vite en classe pour mon pre­mier cours. Ensuite, des filles sont venues me pro­pos­er de manger avec elles, si gen­ti­ment que j’ai accep­té sans hésiter. Cette journée est passée très vite, mais je m’en rap­pellerai toute ma vie. Je te racon­terai ce qui s’est passé aujour­d’hui demain.

10 mars 2020

Cher Jour­nal,

Aujour­d’hui avec M. Dela­fontaine, on a pris nos baguettes rouges puis nos blous­es mag­nifiques et on a appris à trans­former des gens en chais­es. Adam est le seul à avoir une baguette bleue mais il a l’air d’être anx­ieux par rap­port au test. Avec mon ami qui sem­ble tra­cassé parce qu’on a triché, on a eu qua­tre ce qui est dans la moyenne. Dans notre groupe, nous avons presque tous les cheveux châ­tains, sauf deux filles qui ont les cheveux ros­es. Sur­pris par Aman­dine qui a eu six alors qu’elle n’est pas très forte nor­male­ment. Déçu par ma note, j’ai sup­plié le pro­fesseur de me rajouter des points, mais il ne l’a pas fait.

Lun­di 1er jan­vi­er 2020, Poudlard

Cher jour­nal,
Hier, j’ai fêté Nou­v­el-an à l’é­cole des sor­ciers. Les feux d’ar­ti­fices étaient beaux. Il y en avait des bleus, des mar­ron et plein d’autres couleurs. Les cloches étaient bruyantes et vio­lentes. La joie avait son­né à la porte. Fatigués, nous l’avions tous reçue. Du plaisir, on en a voulu. La fête dura appré­ciée. Har­ry était là aus­si. On l’a vu déclenché les feux d’ar­ti­fices et il nous a tous impres­sion­nés. Je t’ou­vri­rai encore et encore. Quand ? Je ne sais pas.
À plus.

26 août 2020 en Angleterre

Ce matin, je suis arrivé à la gare de King’s Cross. J’ai pris le Poud­lard Express pour l’é­cole de sor­ci­er. Le train et ses wag­ons sont rouges et noirs.

Dans mon wag­on, les sièges sont gris et très con­fort­a­bles, en plus, une dame a passé avec des sucreries ! Il y a déjà deux heures que le train a démar­ré et j’ai com­mencé à apercevoir la plus majestueuse école que j’ai connue.

Émer­veil­lé par ce mon­u­ment, je suis resté figé. Dans quelques instants, nous serons arrivés, je suis très stressé de savoir dans quelle mai­son je serai. Main­tenant je ne peux plus t’écrire car nous allons enfin arriver.

Plus tard:

Voilà main­tenant 3 heures que nous ne nous sommes pas écrit et je vais tout te raconter…