Mon séjour à Poudlard écrit dans mon journal intime

                                                         Jour­nal intime : Poudlard

Same­di 15 novem­bre 1819

Cher jour­nal intime,

Aujour­d’hui, un élève de notre mai­son a triché lors d’une épreuve, avec une plume ensor­celée ! Com­ment le sais-je ? C’est sim­ple… Car je l’avais démasqué, mais mal­heureuse­ment j’é­tais la seule à m’en être ren­due compte. L’élève qui avait triché était un de mes nom­breux amis… Flo­ri­an. Comme tu le sais déjà, cher jour­nal, je suis une sor­cière fidèle et jamais je n’oserais dénon­cer quiconque d’un tel acte, qu’une autre per­son­ne aurait très bien pu le faire. Mais je n’avais pas trop le choix… Il fal­lait que quelqu’un le fasse ! Après le cours de méta­mor­phose de Mme McG­o­na­gall, je suis allée vers Flo­ri­an en lui dis­ant que je l’avais vu trich­er avec sa plume rouge, ensor­celée, et que s’il n’al­lait pas se dénon­cer au pro­fesseur Dum­b­le­dore, je le ferais à sa place. Après ce que je lui avais révélé, angois­sé, il se ren­dit au bureau du pro­fesseur Dum­b­le­dore en lui avouant son erreur. À sa plus grande sur­prise, Dum­b­le­dore ne lui avait infligé aucune puni­tion, mais lui a dit que s’il recom­mençait à nou­veau… Il serait immé­di­ate­ment et défini­tive­ment ren­voyé de Poud­lard. À mon avis, je crois qu’il a compris. 

Les erreurs nous mon­trent le chemin qui mène à la réal­i­sa­tion de notre poten­tiel. Mais encore faut-il les accepter. Appren­dre de ses erreurs et surtout à ne pas les repro­duire. J’e­spère sincère­ment qu’il en tir­era une leçon…

À bien­tôt cher journal !

Journal intime imaginaire

1er sep­tem­bre 2020, dans ma cham­bre à Poudlard

Cher jour­nal,

Ce matin, ma ren­trée à Poud­lard s’est bien déroulée! J’é­tais super excitée à l’idée d’y entr­er. Lorsque je suis arrivée à la gare, j’é­tais per­due et, heureuse­ment, je me suis vite fait des amies. L’une d’en­tre elles s’ap­pelle Léa : elle est brune et avait révisé durant toutes les vacances. Ses par­ents sont moldus et étaient ravis d’avoir une sor­cière comme fille. Une autre s’ap­pelle Maria : elle est rousse et trop mignonne avec toutes ses tach­es de rousseur. Elle a des yeux bleus et la peau claire, ses par­ents sont des sor­ciers. La dernière s’ap­pelle Suzie, elle a des cheveux noirs et des yeux verts, c’est très beau. Elle adore la mode et sa mère est sor­cière, son père moldus. On est toutes les trois à Griffondor.

Journal Harry Potter

14 sep­tem­bre 1875

Cher jour­nal,

Ce matin, je me suis réveil­lée épuisée. Toutes ces for­mules de sor­ciers à appren­dre me fatiguent. Donc, comme chaque jour, je me suis habil­lée et je suis descen­due déje­uner en me ser­vant des tartines d’araignées. Ce n’est pas mau­vais, mais je préfère large­ment le choco­lat. Mon vis­age pâle fai­sait presque peur. Le déje­uner ter­miné, je me suis ren­due dans la salle de magie. La voix énervée de mon pro­fesseur, je l’ai recon­nue tout de suite. Il s’a­gaçait con­tre sa mau­dite chou­ette grise. Heureuse­ment, le cours était ter­miné. A onze heures, celui de chimie avait com­mencé. J’ai mis mon blou­son orange de pro­tec­tion puis nous avons créé une potion mar­ron fon­cé qui don­nait de la force. L’heure du repas a son­né. Au menu, un morceau de viande crue qui avait un goût hor­ri­ble. La viande, tout le monde l’avait mangée sauf moi. Je ne com­prends tou­jours pas pourquoi mon père ado­rait cette école. Mes leçons étaient dif­fi­ciles, mais je les ai appris­es rapi­de­ment. La table, sur laque­lle je tra­vaille, m’a énervé. Elle grinçait telle­ment que j’en ai eu une migraine. Bon, je te laisse mon jour­nal en espérant que ma journée de demain sera meilleure.

Rédaction journal intime

4 octo­bre 2743, Poudlard.

Aujour­d’hui, je suis allé à l’é­cole de Poud­lard et j’ai ren­con­tré plusieurs per­son­nes incroy­ables. D’abord nous sommes allés dans ma cham­bre bleu ciel et j’ai débal­lé les cadeaux que j’ai reçus. Ensuite, mes nou­veaux amis et moi sommes allés dans l’énorme salle placée à côté de ma cham­bre. Dans celle-ci, il y avait une potion qui sem­blait vieille. Après l’avoir exam­inée de plus près avec un micro­scope mar­ron, j’ai décidé d’aller voir mes nou­veaux amis qui parais­sent très fatigués. Puis j’ai remar­qué qu’ils avaient tous des vestes vertes et des pan­talons noirs. Der­rière eux se trou­vaient les toi­lettes et une petite table sur laque­lle était posée une plaque de choco­lat. Une fois que je l’eus mangée, je suis allé dans le couloir con­stru­it près de la cui­sine. Et c’est ain­si que se ter­min­era ma journée à Poud­lard et que je fit un dernier adieu à mes amis.

Dialogue

Un lun­di matin, en allant en cours, Has­san croisa Flo­ri­an et Bérengère :

- Et bien, cela fai­sait un bon bout de temps que l’on ne t’avait pas vu dans les par­ages ! s’ex­cla­ma Flo­ri­an en aperce­vant Hassan.

- Oui, j’é­tais en vacances à New-York, mais j’ai beau­coup pen­sé à vous ! Com­ment allez-vous depuis ? inter­ro­gea joyeuse­ment celui-ci.

- Bien bien mer­ci, mais racon­te-nous tes vacances alors ! Com­ment était-ce ? s’im­pa­tien­ta Bérengère.

- Et bien, c’é­tait extra­or­di­naire ! Il y avait d’in­nom­brables build­ings et tous étaient très grands ! expli­qua le jeune homme avec excitation.

- Super ! Et puis d’ailleurs, joyeux anniver­saire avec un peu de retard ! dirent les deux amis en coeur. L’as-tu fêté là-bas ?

- Exacte­ment ! Je l’ai fêté en com­pag­nie de ma famille car j’en ai là-bas,  répon­dit Hassan.

- J’imag­ine que tu t’es bien amusé, as-tu vu la Stat­ue de la lib­erté ? Il paraît que c’est incroy­able à voir en réal­ité ! lui deman­da Florian.

- Oui, j’ai eu la chance de pou­voir la con­tem­pler d’assez près et en pren­dre de jolies pho­tos ! Tenez, regardez, s’ex­pri­ma Has­san en mon­trant du doigt l’écran de son téléphone.

- Ouah, c’est sub­lime tout ça ! cria Bérangère sans se ren­dre compte que tout les élèves la regardaient .

- Effec­tive­ment, c’é­tait sans doute le meilleur voy­age que j’aie fait jusqu’à aujour­d’hui ! affir­ma Has­san tout en con­tin­u­ant de mon­tr­er les pho­tos à ses amis. Sinon, vous , vos vacances, c’é­tait comment ?

- Rien de spé­cial, com­mença Flo­ri­an, moi je suis par­ti dans un camp­ing dans le sud . C’é­tait sympa !

- Et moi, s’écria Bérengère, j’ai nagé en com­pag­nie de dauphins dans un parc spé­cial­isé dans l’é­d­u­ca­tion de ceux-ci.

- Incroy­able ! s’ex­clamèrent les deux garçons au même moment.

Ils arrivèrent à l’é­cole au moment-même où la son­ner­ie reten­tit et les trois amis se dépêchèrent de mon­ter en classe.

Retour de voyages

Arrivé dans la cours de récréa­tion, Has­san retrou­va ses cama­rades Flo­ri­an et Bérengère et il leur dit.

« Com­ment se sont passées vos vacances ? dit Hassan.
— Très bien! On est allés en Aus­tralie voir les kan­gourous. Et toi? s’ex­clamèrent Flo­ri­an et Bérengère.
— Moi, je suis par­ti au Cana­da. Il fai­sait froid, j’ai été aux chutes du Nia­gara, et je suis allé faire du saut à l’élas­tique sur la tour CN. Avez-vous été ailleurs ?
— Oui, nous avons vogué en bateau jusqu’à la Nou­velle-Zélande. Bérengère et moi avons vu des kiwis. Il étaient magnifiques.
— Cool! moi aus­si j’au­rais voulu voir ça! cria Hassan.
— Crie pas, nous aus­si nous auri­ons envie de voir la tour CN, rétorquèrent les deux frangins.
Mal­heureuse­ment, ils cri­aient telle­ment fort que la prof les con­vo­qua et ils durent copi­er 50 fois « Je ne crie pas dans la cour d’é­cole en par­lant de mes vacances. »

La rentrée des vacances

En ren­trant des vacances, Has­san, Bérengère et Flo­ri­an se don­nèrent ren­dez-vous au parc un après-midi d’août pour dis­cuter de la ren­trée qui approchait à grands pas :

« Salut Has­san ! dirent en coeur Flo­ri­an et Bérengère. Com­ment vas-tu ?

- Salut les amis, je vais très bien, mer­ci ! Où êtes-vous allés durant vos vacances ? deman­da Has­san sur un ton interrogatif.

- Moi, s’écria Flo­ri­an, je suis allé en Ital­ie, c’é­tait sym­pa­thique mais par­lons de choses plus sérieuses, la ren­trée approche et nous ne con­nais­sons tou­jours pas notre classe ! J’e­spère être avec vous car, comme je suis arrivé il n’y a pas très longtemps, je ne con­nais pas grand monde ici ! annonça-t-il.

- Ne t’in­quiète pas Flo­ri­an, ici tout le monde est assez sym­pa­thique et, si nous ne sommes pas ensem­ble, nous nous ver­rons durant la pause de dix heures, expli­qua douce­ment Bérengère avec l’ac­qui­esce­ment d’Hassan.

- Oui, tu as sûre­ment rai­son, est-ce que vous avez relu vos leçons vous ? Car, moi, j’ai dû étudi­er tout au long de mes vacances ! Mon père était sans arrêt sur mon dos, dit Flo­ri­an d’un ton plutôt énervé.

- J’ai regardé mes cours d’anglais car je ne suis pas très fort là-dedans, mais je n’ai rien fait de plus, affir­ma Hassan.

- Pareille­ment pour moi, ajou­ta Bérengère.

- Vous avez vu l’heure qu’il est ? cria Flo­ri­an. Il faut vite que je ren­tre, mes par­ents m’at­ten­dent pour le souper ! Je vous laisse, on se voit demain, salut !

- D’ac­cord, j’y vais aus­si, lança Bérengère. On se revoit demain et bon appétit aussi. »

Sur ces derniers mots, les trois amis ren­trèrent chez eux. Tous les trois avaient une petite appréhen­sion pour la ren­trée et surtout ils voulaient rester en vacances. Flo­ri­an, lui, avait très peur de se retrou­ver seul dans sa nou­velle classe, mais, après la con­so­la­tion de ses amis ain­si que ses par­ents, il se dit que tout devrait bien se pass­er. Alors il alla se couch­er pour pou­voir être en forme pour cette fameuse ren­trée si attendue.

Retour à l’école

Dans la cour d’é­cole, Has­san, Flo­ri­an et Bérangère dis­cu­taient de leurs vacances.

« Alors qu’as-tu fait pen­dant ces deux semaines ? deman­da Bérangère à Hassan.

- Pre­mière­ment, je suis allé au zoo, ensuite je suis par­ti chez ma grand-mère et, pour finir, je suis resté trois jours chez moi, expliqua-t-il.

- Et toi ? inter­ro­gea Bérangère.

- J’ai voy­agé en Ital­ie au bord de la mer avec mes par­ents, répli­qua Florian.

- Qu’à tu fais, toi, Bérangère ? ques­tion­na Hassan.

- Je m’en­nuyais, bredouilla-t-il.

- Pourquoi n’est-tu pas par­ti ? s’in­téres­sa Florian.

- Car mes par­ents tra­vail­laient et moi je devais donc rester à la mai­son tous les jours, rétorqua-t-il.

- Mais tu es quand même sor­ti ? deman­da Has­san d’une voix étonnée.

- Oui, j’al­lais tous les jours au parc devant chez moi pour jouer au foot­ball, clar­i­fia Bérangère.

- Ouha, il faut être fort pour ne rien faire pen­dant deux semaines à part jouer au foot ! s’ex­cla­ma Has­san qui a fait plein de choses pen­dant ces vacances sauf ce sport car il le déteste.

- Et puis, peut-être que j’aime beau­coup faire que ça ! s’ex­pri­ma le garçon.

- D’ac­cord, je ne t’ac­cuse pas. » con­clut tout sim­ple­ment Has­san qui était près à partir.

La cloche vient de son­ner et tous les élèves se pré­cip­i­tent pour ren­tr­er dans le col­lège pour une nou­velle année scolaire.

La fin des vacances

Arrivé devant l’é­cole, Has­san vit au loin Flo­ri­an. Il alla vers lui en courant et il dit :
« Bon­jour Flo­ri­an, com­ment vas-tu ?
— Très bien ! répon­dit Flo­ri­an avec joie et toi, tu vas bien ?
— Oui, je vais très bien pour ma part! Com­ment se sont passées tes vacances ? répli­qua douce­ment le garçon.
— Elles se sont super bien passées car je suis par­ti à Paris chez mes cousins. »
Soudain, les deux garçons virent Bérengère qui s’ap­prochait d’eux.
« Salut les garçons , com­ment allez-vous? De quoi vous par­lez quoi ? demanda-t-elle.
‑On va bien. On par­lait de nos vacances, dit Has­san. Et toi, t’as fait quoi pen­dant les vacances ?
— J’ai fait du surf en Aus­tralie avec ma famille et quelques amis.
— Oh super! Tu as vrai­ment de la chance. répondirent les garçons étonnés.
— Et j’ai voy­agé à New York avec mes grands-parents.
— Oh mince, c’est 7h30. C’est déjà l’heure d aller à l’é­cole », ajou­ta tris­te­ment Bérangère.
Et ils se mirent en route vers la porte d’en­trée de l’école.

Dialogue retour de vacances

Has­san et Flo­ri­an venaient d’ar­riv­er dans la cour d’é­cole. C’é­tait la ren­trée et tout le monde étaient impa­tients de se racon­ter leurs vacances. Les deux garçons se rejoignirent pour discuter:

« Salut Flo­ri­an, tes vacances se sont bien passées ? deman­da Hassan.

- Oui, super bien, je suis par­ti aux Sey­chelles, c’é­tait génial, et toi tu es par­ti pen­dant les vacances ? l’in­ter­ro­gea celui-ci.

- Oui, je suis allé à Lon­dres avec ma cou­sine. Bérengère n’est pas là ? s’in­quié­ta Hassan.

- Elle va arriv­er d’une minute à l’autre. Elle m’a envoyé un mes­sage il y a 15 min­utes pour me dire qu’elle a raté son bus, le ras­sura-t-il. Ah, elle est là-bas !

- Coucou les gars, désolé pour le retard. Vous allez bien ? deman­da Bérengère qui venait d’arriver.

- Ouais, on par­lait de nos vacances, Flo­ri­an est par­ti aux Sey­chelles et moi à Lon­dres, lui expli­qua Hassan.

- C’est trop bien ! s’ex­cla­ma-elle, vous avez trop de chance.

- Et toi, tu es par­ti pen­dant les vacances ? s’in­ter­ro­gea Florian.

- Oh, je suis juste mon­tée à mon chalet avec ma famille et des amis de mes par­ents. » lui racon­ta Bérengère.

La cloche sonna.

« Ah c’est l’heure d’aller en cours, à cette après-midi ! fit Florian.

- Je vous attendrai devant l’é­cole à 4 heures, leur promit Hassan.

- D’ac­cord, à cette après-midi. » con­clut Bérangère.

Puis ils allèrent cha­cun dans leur classe pour travailler.